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DOMINIQUE DECAVEL psychothérapeute

NOTRE CARTE DU MONDE

éducative. Pour parfaire cette carte, nous subirons l’empreinte de nos propres traumatismes ou de ceux de nos ancêtres. Cela va nous construire notre « colonne vertébrale psychologique » qui évoluera tout au long de notre vie, soit dans la souplesse, mais le plus souvent dans la rigidité. Nous déterminerons inconsciemment nos limites de confort, de connu, zone de confort pour survivre et non pour vivre.

Mon engagement est de permettre à chacun d’agrandir sa « carte du monde », de très progressivement le pousser à aller au-delà, à voir plus loin, à voir autrement et de laisser s’exprimer toutes les possibilités qu’il recèle en lui.

Repousser les frontières de notre carte du monde, c’est repousser nos peurs, c’est ne plus se limiter à l’étiquette que l’on a voulu nous faire porter depuis la petite enfance. Ces étiquettes nous ont définis par peur, souvent pour nous protéger, parfois pour nous encourager et même aussi pour nous casser. Elles ne sont que l’écho des propres traumatismes de nos éducateurs. Nous ne sommes pas cela !

Je vous propose de partir à la rencontre de qui vous êtes vraiment, de laisser émerger en toute confiance vos propres possibilités et créativités. Je vous propose, non  pas de survivre, mais de vivre dans le respect et l’amour de soi puis de l’autre, car pour aimer l’autre il faut d’abord apprendre à s’aimer en toute conscience.

 

Je vous reçois dans mon cabinet, situé à Sisteron, dans le département des Alpes-de-Haute-Provence (04), pour vos différentes thérapies.

L’Être humain au fil de sa vie crée sa « Carte du Monde », sa limite. Lieu d’un certain confort dont il franchira rarement les frontières. Cette carte est fonction du pays, de l’influence culturelle (pays où il est né, où il vit, l’origine de sa famille, les traditions, traumatismes ou déviances familiales), elle est également fondée sur notre éducation, qu’elle soit familiale, sociale, religieuse, politique,

 

COMMENT

Créer un climat de confiance entre nous va être ma priorité car beaucoup de personnes ne font confiance qu’à elles-mêmes, par peur, par expérience. Cela va nous amener à élargir notre champ de vision, à regarder autrement. Faire confiance, lâcher prise n’est pas donné à tous. Nous sommes beaucoup à penser que nous pouvons tout maintenir sous contrôle, pour cela, nous sommes de plus en plus figés, blindés. À la fois, nous portons une carapace invisible pour ne plus souffrir des agressions extérieures, et d’autre part, nous allons encore rétrécir notre carte du Monde jusqu’à ce que cela devienne invivable. A ce stade, c’est comme si nous n’avions plus d’oxygène, plus de porte de sortie, c’est l’impasse.

Avec douceur, Il va falloir fissurer la carapace pour nous amener à sentir à nouveau, pour oser nous frotter au monde, aux autres et voir la beauté de la vie, de l’autre. Pour cela il faut d’abord découvrir notre propre richesse, notre propre beauté. Cela se fait tout doucement bien sûr, avec une sensation de liberté retrouvée et, ce qui est essentiel, dans le respect et l’amour.

 

EFFICACITÉ

L’efficacité dépendra en  grande partie du désir de changement de la part de la personne. Peu importe qu’elle croie ou non à l’hypnose ou à la psychophanie, l’essentiel est qu’elle VEUILLE CE CHANGEMENT, qu’elle veuille se libérer de ses casseroles.

C’est étrange mais c’est souvent l’espoir notre pire ennemi, celui qui nous fait perdre beaucoup de temps. Pour aller à sa propre rencontre, il faut éprouver suffisamment de lassitude de sa vie passée ou de curiosité pour l’inconnu. Avoir envie de savoir ce qui se cache derrière notre apparence. La pression sociale et notre éducation nous ont tellement conditionnés, culpabilisés en nous faisant croire que nous devions tendre vers la perfection, que nous avons fini par nous détourner de nous-même et que nous l’avons remplacé par le culte de la personnalité, le culte de l’ego. Le culte de la tricherie. Nous devons réapprendre que nous avons droit à l’erreur, que la perfection n’existe pas et que chacun possède des capacités propres qui lui donnent sa place dans la société. Les erreurs ont toujours été le ferment de la créativité, c’est l’erreur qui va nous permettre de progresser.

Donc, nous allons redonner confiance à la personne, lui montrer ses capacités, lui apprendre à s’écouter et à revenir à elle-même, sans critique parasite. A partir de  là, tout est possible. Lui monter que nous mettons à sa disposition des aides concrètes et efficaces pour lui permettre d’avoir une vie de plus en plus harmonieuse.

 

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